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Le bilan psychologique

Le bilan intellectuel : Le QI

Votre enfant a des difficultés scolaire?

Les échelles d’intelligence sont la base du bilan psychologique permettant d’analyser les capacités cognitives et intellectuelles. Il est donc essentiel pour son bien-être de lui faire passer un test intellectuel afin de déceler à quel niveau se situent ses difficultés ou bien de déceler une éventuelle précocité intellectuelle.

Les enfants passent une multitude d’épreuves permettant de déterminer leur capacité d’adaptation et leur façon de gérer leur anxiété. Le QI calculé en fin des tests permet de situer l’enfant par rapport à une population de référence du même âge, mais ne permet pas de prédire la future réussite scolaire de l’enfant. Un QI élevé ne garantit pas la réussite scolaire, tout comme un QI en dessous de la moyenne ne correspond pas forcément à un échec scolaire. Les résultats ne sont pas figés et peuvent évoluer avec l’âge. Au-delà de la « mesure » de l’intelligence, le test d’efficience intellectuelle permet de définir le profil psychologique de l’enfant, mettant en avant ses atouts, ainsi que ses difficultés dans différents domaines.

 

La précocité intellectuelle 

L’enfant surdoué n’est pas seulement un enfant quantitativement plus intelligent, mais un enfant qui dispose d’une forme d’intelligence qualitativement différente. Son mode de pensée, ses procédures de raisonnement, sa perception et son analyse de l’environnement se distinguent significativement de la norme. Plus de 5 % des enfants seraient des surdoués ! Souvent, ils ne bénéficient pas d’une prise en charge spécifique, pourtant indispensable à leur épanouissement. Malgré un QI supérieur à 130, 30% d’entre eux sont en échec scolaire car ils ont une manière d’apprendre qui est significativement différente des autres

Il est important de dépister très tôt cette précocité, pour en faire un atout et non un handicap. De l’aide des parents et d’un accompagnement adapté dépend l’avenir de ces surdoués.

 Pour en savoir plus : http://www.psychologue-bordeaux-lateste.fr/connaitre-lenfant-surdoue-pour-mieux-laider/

La dyspraxie

La dyspraxie est un  handicap peu connu, difficilement décelable, encore mal diagnostiqué et peu traité.

La dyspraxie est un dysfonctionnement neuropsychologique non verbal qui toucherait environ 6% des enfants de 3 à 5 ans. 

Il existe différentes formes de dyspraxie : La dyspraxie idéatoire/idéomotrice ; la dyspraxie constructive ; la dyspraxie visuo-spatiale.

Concrètement, la dyspraxie est un dysfonctionnement de la planification et de l’automatisation d’une praxie, c’est-à-dire du savoir faire d’un geste volontaire que l’enfant dyspraxique n’arrivera pas, malgré des efforts répétés, à programmer de façon automatique.
On parle de « maladresse pathologique ».

La dyspraxie a souvent un impact très néfaste sur le développement de l’estime de soi. Parce que les habiletés physiques et sportives sont grandement valorisées en âge scolaire, l’enfant dyspraxique se fait souvent rejeter. Il a un fort sentiment d’être incompétent dans presque tout ce qu’il fait et il croit qu’il ne peut rien faire comme les autres. Ceci a pour conséquence qu’il a tendance à éviter les activités de groupe, se retirer et se replier sur lui-même et parfois même sombrer vers la dépression.

Pour toutes ces raisons, un accompagnement psychologique s’avère important pour ces enfants.

Pour en savoir plus : http://www.psychologue-bordeaux-lateste.fr/impact-ordinateur-enfants-dyspraxiques-milieu-scolaire/

Le bilan de personnalité

Pour sonder la sphère relationnelle et intrapsychique, les psychologues utilisent des tests dits « projectifs », ou tests de personnalité. L’analyse des épreuves projectives liées au résultat de l’épreuve de niveau, va par exemple permettre de comprendre pourquoi et comment l’enfant ne peut exploiter au mieux ses ressources intellectuelles. Le bilan de personnalité évalue les processus affectifs sous-jacents de la personnalité. Il comprend un test projectif adapté à l’âge de l’enfant, auquel s’ajoute un test de dessin, ou une autre épreuve.

Le bilan psychologique est comme une photographie à un moment donné des capacités cognitives et du fonctionnement psychique du sujet. Les résultats sont en effet susceptibles d’évoluer dans le temps selon le développement psychologique et affectif du sujet. Il ne s’agit pas de l’enfermer dans une définition qui tenterait de dire tout de lui ou de sa pathologie. C’est le sujet et sa souffrance qui sont au centre du travail, et non la nécessité d’émettre un jugement à son propos. Dans ce cadre là, le bilan psychologique est l’occasion d’une rencontre avec un sujet en difficulté, un moment privilégié pour être à l’écoute de sa souffrance et de ce qu’il en dit à son insu, sans autre arrière pensée que celle de lui venir en aide.